Vivre est un film dramatique britannique de 2022 réalisé par Oliver Hermanus. C’est un remake du film japonais Ikiru d’Akira Kurosawa datant de 1952 qui est lui-même inspiré du roman La Mort d’Ivan Ilitch de Léon Tolstoï.
J’ai eu le plaisir de découvrir ce film bouleversant dans le cadre du ciné-club Psy organisé par l’APPQ (Association des Psychothérapeutes Psychanalytiques du Québec). Un beau film nommé Vivre pour aborder le sujet de la mort.
Vivre – Résumé
Londres panse encore ses plaies après la Seconde Guerre mondiale. Williams, fonctionnaire chevronné, est un rouage impuissant dans le système administratif de la ville qui doit se reconstruire. Il mène une vie morne et sans intérêt, mais tout change lorsqu’on lui diagnostique une maladie grave qui l’oblige à faire le point sur son existence. Rejetant son quotidien banal et routinier, Williams va alors se dépasser et enfin vivre pleinement sa vie.
Thématiques abordées
Ciné-club Psy de l’APPQ
Comme évoqué dans l’introduction de cet article, j’ai vu ce film dans le cadre du ciné-club Psy organisé par l’APPQ (Association des Psychothérapeutes Psychanalytiques du Québec) au cinéma du Parc. J’adore y aller. J’y découvre toujours de très beaux films qui me sont inconnus et les conversations post-séances sont toujours extrêmement intéressantes.
Vivre – Mon avis
- Ce film pose une question complexe : comment vivre face à l’annonce d’une mort imminente ? Profiter de la vie, vous me direz. Oui, mais qu’est-ce que ça veut dire, profiter de la vie ? Qu’est-ce qui vous rendrait heureux durant vos dernières heures ? Qu’est-ce que vous souhaitez laisser derrière vous après votre mort ? Quels moments souhaitez-vous partager avec vos proches ? Auriez-vous des regrets ?
- Un beau film nommé Vivre pour aborder le sujet de la Mort.
- Je n’ai aucune critique négative à formuler. Ce film est parfait ! J’ai passé un bon moment triste.
- C’est un film pudique, esthétiquement beau et bouleversant.
- Si vous êtes sensible, équipez-vous d’une boite de mouchoirs ! Personnellement, j’ai beaucoup pleuré.
Ma note
Vivement le prochain ciné-club Psy de l’APPQ pour y voir La zone d’intérêt.
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