L’odeur des clémentines grillées de Do-Woo Lee est un livre que j’ai détesté et qui va rejoindre la liste des livres que j’ai abandonnés…

L’odeur des clémentines grillées de Do-Woo Lee – Résumé
“Après un burn-out, Haewon quitte Séoul pour regagner son village natal perdu dans les montagnes. Elle y retrouve par hasard Eun-seop, un ancien camarade de classe qui gère désormais la librairie Goodnight, où il a créé un club de lecture. Rapidement, la jeune femme se fait une place parmi ses membres chaleureux et retrouve goût à la vie. Un quotidien dont la douceur sera bientôt troublée par une vague de froid sans précédent. Et la neige aura beau recouvrir le paysage, les secrets du passé comme les sentiments ne tarderont pas à refaire surface…”
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L’odeur des clémentines grillées de Do-Woo Lee – Mon avis
Ce que j’ai aimé
- La beauté de la couverture de ce livre : de la couleur, des livres, un café fumant et un chat noir. Il n’en fallait pas plus pour décider d’acheter ce livre.
- La quatrième de couverture annonçait une histoire d’un burn-out, d’un club de lecture et d’anciens camarades de classe qui se retrouvent. Ça laissait présager une histoire intéressante.
Ce que j’ai moins aimé
- Hormis la belle couverture et le beau résumé en quatrième de couverture, j’ai tout détesté ! Ce livre est d’une pénibilité incommensurable !
- Il n’y a pas vraiment d’histoire. Pas de fil rouge. C’est très lent et creux.
- L’autrice a fait le choix d’utiliser des noms composés pour ses personnages. Ce sont peut-être des noms très communs en Corée, mais pour l’occidentale que je suis, c’est comme lire un livre où tous les personnages se nomment : Jean-Claude, Jean-François, Marie-Christine, Anne-Marie, France, Francine, François, Jean-Jacques, Jacky, etc. Un véritable enfer pour s’y retrouver.
- On y parle principalement de la météo : il fait froid, il neige, il neige de nouveau, le chauffage ne fonctionne pas, il gèle, etc.
- Bref, j’ai DÉTESTÉ ce livre.
Une citation
A la surface du lac Hyecheon tombait de la neige fondue. Le temps de leur amour passé s’était enfui, dissous comme un mensonge. Y. pensa à celui qu’elle avait laissé dans le pré. Combien de temps faudrait-il errer à la lisière de la souffrance pour venir à bout d’un tel souvenir ?
Ma note
Pour aller plus loin
Pour lire de la littérature Coréenne, je recommande plutôt La végétarienne de Han Kang.
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